Envie de voyage ?

vendredi 12 janvier 2018

En Noir/Blanc



Pour répondre à un défi lancé sur Facebook, j'ai publié pendant 7 jours de suite des photos en N/B. Le thème était le quotidien. 

J'ai été frappée en transformant mes photos de noter à quel point le N/B rappelle la Grèce des années 50, celle que l'on retrouve sur certaines cartes postales vendues dans les kiosques. 

J'ai pris le parti de publier des photos de personnes en activité... ou pas !

Pêcheur, Koilada, Peloponnèse
Koilada (22.04.2010)

Nauplie, Nafplio
Nauplie (29.08.2010)

Peloponnese taverne
Dervenakia (26.05.2010)

Muloi Argolide Peloponnese
Muloi (28.04.2012)

Hydra
Hydra (17.05.2011)

Nauplie Nafplio
Nauplie (02.03.2012)

Dervenakia Peloponnese
Dervenakia (26.05.2010)

Les gestes n'ont pas changé, mais ne croyez pas que je sois passéiste pour autant. 

9 commentaires:

  1. quel bon partie tu as pris merci de ce voyage dans le temps et dans la vie de ces étres , un rêve , une époque ,
    je t'embrasse très chére
    Armarita
    frankie

    RépondreSupprimer
  2. Des personnages intéressants qui ne regardent pas le photographe, autre chose que les selfies !

    RépondreSupprimer
  3. Tu as raison on a l'impression qu'elles remontent le temps. Elles sont franchement belles !
    Gros bisous

    RépondreSupprimer
  4. Excellente série de portraits... vie prise sur le vif !
    J'aime beaucoup.

    RépondreSupprimer
  5. Je ne peux que surseoir à tous ces compliments! J'adore cette série de photos... pas tant par son côté "passéiste" que par le fait qu'elle me rappelle la Grèce que j'aime et que je rencontre encore! Magnifique!

    RépondreSupprimer
  6. Je cosigne le commentaire de Gine! C'est la persistance de cette Grèce qui fait que j'aime ce pays.

    RépondreSupprimer
  7. Que c'est beau et authentique !! Bravo !!
    Bon weekend !

    RépondreSupprimer
  8. Jolies photos. Ce qui ne change pas beaucoup dans notre monde hyper branché, ce sont certaines tâches que l'on réserve aux plus mal lotis et 50 ans de progrès ne les a pas atteint. C'est aussi le lot des pauvres qui sont de plus en plus nombreux, sans que le monde riche ne s'en soucie. Ceux là, tu peux les photographier dans 50 ans, couchés sur leurs cartons de misère SDF à la vie courte, ils seront les mêmes.
    Pour les petits métiers qui nourrissent à peine, on dirait qu'ils pérennes et la condition de ceux qui les pratiquent, également.L On peut trouver ça beau, eux ne sont pas sensibles à ces compliments. Je peux parler en connaissance de cause, pour avoir partagé leur condition.

    RépondreSupprimer
  9. Et il y a peu de détails pour permettre de dater précisément ces photos. Bonne semaine

    RépondreSupprimer