Si je vous dis : "pâtre grec", vous pensez à Moustaki bien sûr, où il vous vient à l'esprit une image comme celle-ci :
Boissonas 1910 |
Et bien les temps changent. Voici un berger rencontré hier à Galatas, près de Poros. Il avait emmené ce cabri d'un jour ... au kafeneio !
Il en était très fier et je n'ai pas eu de mal à obtenir de pouvoir faire la photo.
Le sexe du cabri ? Mâle ! Forcément ...
beau reportage! amicalement, @nne
RépondreSupprimerForcément! :-)
RépondreSupprimerTout comme Richard ! Vu en famille, ton reportage nous a bien fait rire .. et le cabri a recueilli tous les suffrages !
RépondreSupprimerJoli, ce cabri !
RépondreSupprimerCoucou Amartia ! je suis contente d'avoir un instant retrouvé une connexion pour admirer ce mignon petit cabri. Il est vraiment adorable
RépondreSupprimer(PS : le pâtre grec me fait automatiquement penser à la chanson de Moustaki... Toute mon adolescence...)
seriez vous rentrer de la gréce je vous embrasse frankie
RépondreSupprimerchère amarita, merci de ton mot, et de ta découverte par l'intérieur du mot trac
RépondreSupprimerje te fis ce billet
les gens qui avaient été au théatre de la colline ce sont ennuyés dans la salle
moi sur scéne je ne me suis jamais ennuyée car ce qui compte c'est l'autre et l'auteur que tu défends
si au passage tu prends du plaisir c'est bien
moi mon plaisir c'était de voir les gens heureux
aujourd'hui comme tu l'as compris je suis dans le cycle des adieux à la scéne car ils ne me font plus vivre
et aller plus loin serait ne pas respecter la femme qui a tant sacrifié pour elle
ce gouffre psychopathe où les valeurs ne sont
je n'ose l'écrire car cela sont des mots mauvais
et dans ce monde là je ne sais pas faire
cela ne s'apprend pas
je suis sur que tu as eu le trac pour un rv amoureux, un examen important médical ou professionnel
une etreinte à perdre le souffle
cherche bien
tu as vecu quelques bon petits tracs
je suis sur et quand tu vas dans ces belles ruines grecques
quand dans l'ombre une chouette se cache et que tu entends du bruit sans l'avoir élucidé
comme le poème de poe
si beau
où il est embarqué dans un enchainement de sentiment qui peut aller jusqu'à l'horrible
et quand la réalité se révèle ce soupir !!!!
belle fin de semaine
15 septembre 2011 02:42