Comme vous le savez sûrement, les Grecs vivent une crise économique sans précédent. La population subit de plein fouet les mesures draconiennes imposées par la "troïka", comme on l'appelle, à savoir le FMI, la BCE et l'Union européenne. Le quotidien des gens en est affecté lourdement, mais heureusement le sens de la solidarité et de l'entraide n'a pas (encore) disparu.
La semaine dernière j'ai acheté les deux médicaments que je prends régulièrement et alors que d'habitude je les paie 24 €, la pharmacienne, cherche les prix dans son catalogue et ne me réclame que 21 €. Lorsque je lui dis qu'elle doit se tromper, elle me répond en souriant : "Qu'est-ce qu'on peut y faire ? Il faut bien s'entraider !". Visiblement elle a choisi le barème lui laissant une marge plus petite.
pain paysan au sésame |
Ce matin, c'est au tour du boulanger de faire une action : 1 € le kg de pain ! Lorsque je lui dis que c'est bien appréciable, il répond lui aussi : "On fait ce qu'on peut pour aider, sinon où va-t-on ?"
Vive le commerce de proximité !
ax Ellada! a bientôt, @nne
RépondreSupprimerC'est très beau, cet élan de solidarité, voilà qui redonne un peu d'espoir...
RépondreSupprimerquel réconfort , de lire ce petit morceau de vie solidaire !!
RépondreSupprimerça réchauffe!
Ha, c'est là qu'on reconnait la mentalité greque. Je comprends que tu les aimes, ces Grecs!!!
RépondreSupprimerInimaginable et très beau ! Entraide chez les commerçants ! On ne peut qu'admirer ...
RépondreSupprimerCe partage, cette générosité sont merveilleux ...
RépondreSupprimerBisous de douce journée.
Marie-Ange